retour Retour

10 - I - Question du groupe U.M.P.QOC 2003-1011 G Question de Mme Roxane DECORTE et des membres du groupe U.M.P. à M. le Président du Conseil de Paris, siégeant en formation de Conseil général, relative à la situation des centres "S.O.S. Mains" menacés à Paris


Libell� de la question :
"Mme Roxane DECORTE et les membres du groupe U.M.P. souhaitent attirer l'attention de M. le Pr�sident du Conseil de Paris, si�geant en formation de Conseil g�n�ral, sur la situation des centres "S.O.S. Mains" d�pendant de l'A.P.-H.P., qui sont aujourd'hui menac�s de fermeture (S.O.S. Mains du C.H.U. Bichat et de l'h�pital europ�en Georges-Pompidou). A Paris, 40.000 malades passent par an dans les blocs des centres "S.O.S. Mains".
Mme Roxane DECORTE et les membres du groupe U.M.P. souhaitent conna�tre les initiatives prises par M. le Pr�sident du Conseil de Paris, si�geant en formation de Conseil g�n�ral, pour rem�dier � cette situation."
R�ponse (M. Alain LHOTIS) :
"A l'heure actuelle, la prise en charge des urgences "S.O.S. Mains" 24 heures sur 24 est assur�e par deux �tablissements de l'Assistance publique-H�pitaux de Paris : l'h�pital Bichat-Claude-Bernard et l'h�pital europ�en Georges-Pompidou.
Dans un contexte o� les centres "S.O.S. Mains" sont confront�s, comme les autres activit�s chirurgicales, aux probl�mes de la p�nurie de chirurgiens form�s � cette sp�cialit�, de l'attractivit� du priv� dans ce domaine et des n�cessit�s d'am�nagement du temps de travail, le d�part des deux chefs de service de l'h�pital Bichat en septembre 2002 et de l'h�pital europ�en Georges-Pompidou en septembre 2003, est l'occasion d'une r�organisation durable de l'ensemble de cette activit�.
La chirurgie de la main est, en effet, une activit� de r�f�rence, dont le maintien est un objectif prioritaire pour l'A.P.-H.P.
C'est pourquoi, elle examine avec les chirurgiens concern�s, les solutions aux difficult�s rencontr�es, parmi lesquelles la mutualisation des moyens de ses �quipes et la mise en place d'un syst�me de gardes altern�es, qui permettent d'assurer la continuit� des soins 24 heures sur 24."

Janvier 2003
Débat
Conseil général
retour Retour