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64- QOC 98-93 Question de M. Henri MALBERG, Mme Martine DURLACH, MM. Alain LHOSTIS, Jean WLOS et des membres du groupe communiste à M. le Maire de Paris au sujet de l'immeuble situé 71, rue Raymond-Losserand (14e).



M. Alain DESTREM, adjoint, pr�sident. - Nous passons � la question suivante qui concerne l'immeuble situ� 71 rue Raymond-Losserand (14e).
Elle est ainsi libell�e :
" La Ville de Paris a d�cid� de conserver et de r�habiliter l'immeuble situ� 71, rue Raymond-Losserand (14e), d�nomm� " Ch�teau ouvrier ".
21 locataires, de conditions modestes, habitent l'immeuble et cette r�habilitation doit se faire en leur faveur.
Aussi, M. Henri MALBERG, Mme Martine DURLACH, MM. Alain LHOSTIS, Jean WLOS et les membres du groupe communiste demandent-ils � M. le Maire de Paris quelles propositions ont �t� faites aux locataires et les mesures qu'il compte prendre pour que :
1�) les logements r�habilit�s soient des logements P.L.A. ;
2�) les locataires qui le souhaitent y soient relog�s ;
3�) ceux qui ne le souhaitent pas soient relog�s dans des logements P.L.A. situ�s � proximit�. "
Je vous donne la r�ponse au lieu et place de M. Michel BULT�, adjoint.
A la demande du Maire du 14e arrondissement, il a �t� demand� de conserver et r�habiliter le Ch�teau des Ouvriers situ� dans le p�rim�tre de la Z.A.C. " Didot ". Cette modification du parti d'am�nagement n�cessite la r�vision du PA.Z. de la Z.A.C. qui pourrait intervenir dans le courant de l'ann�e 1998 ; l'implantation du jardin pr�vu initialement � cet emplacement sera � r��tudier.
Cet immeuble sera r�habilit� en P.L.A. et la S.E.M.E.A.-XV, am�nageur de la Z.A.C., effectuera une enqu�te sociale sur le site.
La r�gle, en pareil cas, consiste � proposer aux occupants �ligibles au logement social une habitation dans l'arrondissement ou dans un arrondissement limitrophe.
S'agissant du cas d'esp�ce, comme l'a souhait� Monsieur le Maire du 14e arrondissement, la Ville de Paris s'efforcera de faire des propositions de relogement dans les P.L.A. � proximit�, �tant pr�cis� que les locataires actuels disposeront d'un droit de priorit� pour des propositions de relogement sur le site m�me.

Février 1998
Débat
Conseil municipal
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