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M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Nous terminons presque avec le v?u n� 81 sur la situation du groupe Berthier/Courcelles/Jean Mor�as, pr�sent� par M. BERTHAULT.

En une minute, cher coll�gue, s?il vous pla�t.

M. Jean-Didier BERTHAULT. - Merci, Monsieur le Maire.

Effectivement, c?est une cons�quence directe de ce que soulignait Claude GOASGUEN, c?est-�-dire le transfert de la S.A.G.I. � "Paris Habitat".

Monsieur MANO, vous �tes loin d'�tre convaincant sur le sujet. Comme si cela ne suffisait pas, en plus j'ai vraiment l'impression que vous souffrez d'un certain autisme � �couter les associations de locataires et les repr�sentants des immeubles concern�s.

Si vous �tiez un peu plus � leur �coute et plus sur le terrain, vous vous rendriez compte que ce que vous d�noncez sur la qualit� de gestion de la S.A.G.I., c'est exactement ce que r�clame la totalit� des locataires et de leurs repr�sentants aujourd?hui, c?est-�-dire de revenir � la situation, d?ailleurs que vous-m�me, lors du Conseil de Paris qui avait ent�rin� le transfert de la S.A.G.I. � "Paris Habitat", aviez, la main sur le c?ur, promis.

A l'�poque, je me souviens tr�s bien, sous la pr�c�dente mandature, vous m'aviez dit : "Monsieur BERTHAULT, ne vous inqui�tez pas, la qualit� de service, la qualit� du patrimoine immobilier sera respect�e par Paris Habitat". Il n'en est rien. Vous le savez tr�s bien, et vous avez �chou� dans cette op�ration de transfert de la S.A.G.I. � "Paris Habitat".

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Monsieur BERTHAULT, pardonnez-moi?

M. Jean-Didier BERTHAULT. - Aujourd?hui, c?est le groupe Berthier/Courcelles/Jean Mor�as, parce qu?effectivement cela concerne le conseil de quartier dont je m'occupe, mais je pourrais le g�n�raliser � l'ensemble de ce patrimoine immobilier de la S.A.G.I.

Je vous demande maintenant de vous engager une nouvelle fois sur la qualit� de ce service et de ce transfert, sur aussi le rattrapage des travaux d�s 2010 qui ont un certain retard?

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Monsieur BERTHAULT, pardonnez-moi, mais il faut conclure.

M. Jean-Didier BERTHAULT. - ? qui est constat� sur ces travaux de remplacement de menuiserie. C?est �galement sur la r�activit� plus importante aux demandes des locataires, puisqu'on a aujourd?hui v�ritablement l'impression, quand on fait partie du patrimoine immobilier de l?exemple S.A.G.I., qu?on n?est pas du tout �cout�s ni suivis par "Paris Habitat".

Je vous remercie.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci.

La parole est � M. Jean-Yves MANO.

M. Jean-Yves MANO, adjoint. - J?ai r�pondu, en partie, dans mon intervention pr�c�dente concernant la S.A.G.I.

D'abord, ces locataires sont connus. Vous le savez bien parce que je les re�ois au moins une fois par an, en tant qu'organisation de locataires. Tr�s honn�tement, je ne re�ois pas personnellement toutes les associations de locataires du patrimoine de "Paris Habitat".

Cela t�moigne donc de l'int�r�t particulier que je porte au 17e arrondissement. L'ensemble de leurs demandes est transmis � "Paris Habitat", qui fait les travaux ad�quats � mesure qu'il dispose des budgets n�cessaires � la r�habilitation de ce patrimoine,.

La menuiserie a commenc� et sera poursuivie, je vous le dis.

J'ai transf�r� bien �videmment au directeur de "Paris Habitat" l'ensemble des demandes formul�es au sein de votre v?u.

J'imagine que des contacts pr�cis seront pris entre la direction territoriale et les associations de locataires, suite � votre intervention.

Je rappelle, bien �videmment, qu'il est de la responsabilit� du directeur g�n�ral, de donner une suite favorable dans un d�lai relativement restreint aux demandes et sollicitations �manant de l'ensemble des locataires.

Je ne pourrais pas r�pondre favorablement � votre demande. N�anmoins, je transmets bien �videmment vos demandes particuli�res concernant cet ensemble immobilier.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u assorti d'un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

Le v?u est rejet�.

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