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Vœu déposé par le groupe les Républicains relatif à la sécurisation du collège Raymond Queneau (5e).


M. Bruno JULLIARD, premier adjoint, pr�sident. - Nous examinons le v?u n��9, qui est pr�sent� par Mme STOPPA-LYONNET.

Mme Dominique STOPPA-LYONNET. - Monsieur le Maire, chers coll�gues, chers �l�ves.

Il s?agit d?un v?u d�pos� par Florence BERTHOUT et les �lus du groupe les R�publicains, et qui est relatif � la s�curisation du coll�ge Raymond Queneau dans le 5e arrondissement.

Du fait de la n�cessit� d?am�liorer les dispositifs de s�curisation des �tablissements scolaires dans un contexte sensible,

Consid�rant la configuration des locaux du coll�ge Raymond Queneau, qui ont entra�n� des intrusions par les toits � plusieurs reprises,

Consid�rant que ces intrusions se sont produites par les toits de l?�tablissement les 7, 20 et 22 janvier, dont la derni�re qui a entra�n� des "tags", mais aussi l?arrestation des individus,

Consid�rant les inqui�tudes des parents d?�l�ves et de la communaut� �ducative,

Consid�rant la n�cessit� de bloquer l?acc�s et d?�viter de nouvelles intrusions par les b�timents voisins du coll�ge Raymond Queneau,

Consid�rant que la s�curisation de la copropri�t� et de la concession "Toyota" voisine par la pose de dispositifs anti-escalade sur la mitoyennet�, soit sur une longueur de 40 m�tres, serait de nature � renforcer significativement le dispositif de s�curisation du coll�ge, eh bien, Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement, et les membres du groupe les R�publicains �mettent le v?u que la Maire de Paris permette la s�curisation du coll�ge Raymond Queneau par la pose de dispositifs anti-escalade sur la mitoyennet� et par la mise en place d?une alarme anti-intrusion. Je vous remercie.

M. Bruno JULLIARD, premier adjoint, pr�sident. - Merci, Madame.

Pour vous r�pondre, la parole est � Mme CORDEBARD.

Mme Alexandra CORDEBARD, adjointe. - Merci.

Chers coll�gues, le sujet de ce v?u, comme souvent pour le 5e arrondissement, a un caract�re tr�s local, clairement identifi� et pris en charge par la DASCO, suite notamment � l?intrusion � laquelle vous avez fait allusion.

Pour m�moire, les lyc�ens mineurs auteurs de cette intrusion ont �t� interpell�s. Leurs parents se sont engag�s � rembourser les d�gradations. Information suppl�mentaire�: ils ont pu d�crire le cheminement utilis� par les parties communes d?un immeuble mitoyen et qui permettent d?acc�der � un muret, puis de l� au toit d?un concessionnaire "Toyota" contigu au coll�ge. Bref, nous avons identifi� la difficult�.

La DASCO a pris la responsabilit� d?organiser, avec la direction du coll�ge - vous ne pouvez pas l?ignorer -, la S.L.A., la DPSP, les copropri�t�s attenantes au coll�ge, une r�union sur place afin de d�finir les meilleures solutions possibles. Il y a en effet plusieurs int�r�ts � faire converger pour construire une solution globale. Les �tudes de faisabilit� sont en cours - vous ne pouvez pas l?ignorer non plus - pour pr�ciser le cadre d?intervention, notamment entre la Ville et la concession "Toyota".

Je partage naturellement la volont� que cette op�ration soit rapidement d�finie et mise en ?uvre. La DASCO et les services de la Ville sont mobilis�s pour ce faire aux c�t�s d?ailleurs, comme c?est classique, de la mairie de l?arrondissement.

M. Bruno JULLIARD, premier adjoint, pr�sident. - Merci beaucoup, Madame la Maire.

Le v?u des R�publicains est-il retir�? Madame STOPPA-LYONNET�?

Mme Dominique STOPPA-LYONNET. - Non, je ne le retirerai pas, ce d?autant qu?il y a un argument que je n?ai pas mis dans les consid�rants, mais je pense qu?il y a un argument aussi de s�curit� pour les individus qui se risqueraient � passer par les toits, et qui sont, on l?a vu, des �l�ves. Donc aussi de ce fait, nous ne le retirons pas.

M. Bruno JULLIARD, premier adjoint, pr�sident. - Vous maintenez votre v?u.

Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u n��9 avec un avis d�favorable de l'Ex�cutif.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Le v?u est rejet�.

Mai 2017
Débat
Conseil municipal
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