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4- 1997 DASCO 25 G Autorisation à M. le Président du Conseil de Paris, siégeant en formation de Conseil général, de signer avec la R.I.V.P. une convention de maîtrise d'ouvrage confiant à cet organisme le soin de réaliser une étude complète en vue de la réhabilitation-restructuration du lycée-collège Jacques-Decour, 12, avenue Trudaine (9e).



M. Roger ROMANI, pr�sident. - Nous allons passer � l'examen du projet de d�lib�ration DASCO 25 G figurant en page 3 de l'ordre du jour, portant autorisation � M. le Pr�sident du Conseil de Paris, si�geant en formation de Conseil g�n�ral, de signer avec la R.I.V.P une convention de ma�trise d'ouvrage confiant � cet organisme le soin de r�aliser une �tude compl�te en vue de la r�habilitation-restructuration du lyc�e-coll�ge Jacques Decour, 12, avenue Trudaine, (9e).
Je donne la parole au premier orateur inscrit , M. BRAVO.
M. Jacques BRAVO. - Merci, Monsieur le Pr�sident.
Nous n'avons aucune r�serve sur le lancement de l'�tude envisag�e pour un montant de 250.000 francs. C'est seulement pour y voir plus clair sur les suites de cette �tude dans la mesure o� un projet tr�s important avait �t� envisag� en 1991, financ� par le Conseil r�gional pour quelques 200 millions de francs de r�habilitation-r�am�nagement, mise aux normes de s�curit� de ce lyc�e-coll�ge Jacques-Decour.
Je pose cette question pour savoir si les provisions financi�res, n�cessaires � la r�alisation de ces travaux, seront bien provisionn�es, puis d�gag�es quand il le faudra. Merci.
M. Roger ROMANI, pr�sident.- Monsieur HUBIN, vous avez la parole pour r�pondre aux questions pos�es par M. BRAVO.
M. Jean-Philippe HUBIN, vice-pr�sident, au nom de la 4e Commission. - C'est un proc�d� qui existe depuis fort longtemps. Il y a en effet longtemps que des �tudes ont �t� confi�es � la R.I.V.P pour remettre en �tat nos lyc�es. La R.I.V.P remplit cet office � la satisfaction g�n�rale. Je pense simplement souhaitable la remise en cause de temps en temps, de ce qui est fait habituellement. Je pense qu'on peut imaginer de poser aux services la question de savoir si cette proc�dure doit continuer.
Dans l'�tat actuel des choses, l'�tude qui va �tre faite par la R.I.V.P sera bien int�ressante. Cette soci�t� est capable, techniquement, de faire ces �tudes, chacun le sait.
M. BRAVO sera rassur�, puisque sur le fond, la question que l'on peut se poser est de savoir s'il faut continuer sur le long terme � confier � la R.I.V.P ce genre de travail � partir du moment o� nous avons des services d'architecture qui peuvent les faire de fa�on aussi efficace.
En ce qui concerne les proc�dures de remise en �tat des lyc�es, il faut savoir que nous avons h�rit� d'une situation immobili�re d�testable. Les lyc�es et les coll�ges n'avaient pas �t� entretenus pendant de longues ann�es.
Une r�habilitation g�n�rale de tous ces lyc�es-coll�ges a �t� n�cessaire � cause de cela. Les choses �voluent. Les lyc�es et les coll�gues sont quand m�me tenus en �tat depuis que nous avons pris le pouvoir dans ce domaine, de fa�on efficace.
Peut-�tre faudrait-il revoir effectivement la raison pour laquelle c'est la R.I.V.P qui s'occupe de cette affaire, et non pas nos services � nous.
Je ne pense pas que sur le plan du lyc�e Jacques-Decour ou du coll�ge, il y ait le moindre probl�me.
M. Roger ROMANI.- Merci, Monsieur HUBIN.
Monsieur BRAVO, tout cela vous satisfait ?
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DASCO 25 G.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration DASCO 25 G est adopt� � l'unanimit�.

Septembre 1997
Débat
Conseil général
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