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Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Nous passons � l'examen de v?ux non rattach�s. Le v?u n��62 est relatif � la cr�ation d'une traverse dans le Quartier Latin. Je donne la parole � Mme BERTHOUT ou peut-�tre � quelqu?un qui repr�sente le groupe LR�? Mme BERTHOUT n?est pas l�. Je propose que l?on regarde le v?u suivant et que l?on revienne sur celui-l� si l?orateur suivant est pr�sent. Il s?agit du v?u. Mme BERTHOUT est l�. J?allais vous attendre, Madame, en passant au v?u suivant, mais si vous �tes l�, nous allons pouvoir examiner le v?u n��62 pour deux minutes maximum.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Merci infiniment, Madame la Maire, de votre mansu�tude. J?ai d�pos� un v?u, en sachant le sort qui va lui �tre r�serv�, Monsieur l?Adjoint, mais c?est une mani�re un peu de revenir sur un sujet qui me tient beaucoup � c?ur, qui est celui, au moment o� vous r�fl�chissez avec le S.T.I.F. � une nouvelle cartographie ou une cartographie am�lior�e des bus et R.E.R., de remettre au c?ur de notre r�flexion l?id�e d?une traverse dans le Quartier Latin. Un bus de ce type traverse permettrait d?irriguer tout le centre du Quartier Latin, et de mon arrondissement en particulier dont vous savez qu?il ne dispose pas de transports en commun. Il est bien desservi autour mais pas au centre dans l?axe Nord-Sud alors qu?il y a... Il n?y a pas d?injonctions contradictoires. Mais comment est-ce qu?on peut dire que c?est irresponsable�?

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Allez-y, poursuivez, Madame BERTHOUT.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Monsieur l?Adjoint aux Finances, je ne savais pas que vous �tiez charg� � la fois de la biodiversit�, des transports, etc. C?est tout sauf irresponsable.

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - La parole est � Mme BERTHOUT. Allez-y, poursuivez, Madame BERTHOUT.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Je vous rappelle? Je suis assez choqu�e d?ailleurs par vos propos, Monsieur l?Adjoint, ce ne sont pas des injonctions contradictoires. Vous aviez hier - si vous me laissez parler et si vous ne m?interrompez pas � tout propos - vous avez hier vot� la suppression de la circulation le long des voies sur berges, Monsieur BARGETON. Il faut bien qu?en contrepartie, nous irriguions avec des transports en commun, ou alors c?est vous qui �tes en totale contradiction. Je voudrais par ailleurs vous dire que sur ce projet, qui est un projet d?int�r�t g�n�ral, contrairement aux voies sur berges, je suis pour que l?on puisse mettre en place le principe de r�versibilit� et de tester. J?ajoute que la pr�sidente du S.T.I.F. qui est la pr�sidente de R�gion par un courrier en date du...

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Il faut conclure, Madame BERTHOUT.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Je sais bien, j?ai �t� interrompue quatre fois, Madame la Maire.

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Je vous ai justement laiss� un peu plus de temps, d�j�.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Merci infiniment. Je voulais porter � la connaissance de l?Assembl�e, et notamment de M.�BARGETON qui a l?air ce matin d?�tre obs�d� par les finances? Vous l?�tes beaucoup moins quand Mme la Maire de Paris d�pense 2�millions d?euros pour r�nover la place du Panth�on que personne ne veut dans l?arrondissement�! Je ne vous ai pas beaucoup entendu dire que cet argent d�pens� ne servait � rien. Donc, il faut �tre, oui, Monsieur BARGETON, aussi coh�rent�!

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - S?il vous pla�t, Madame BERTHOUT, il faut conclure, vous avez largement d�pass� votre temps de parole.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Je voulais vous dire � propos de fonctionnement, Monsieur BARGETON, que la Pr�sidente de R�gion, Pr�sidente du S.T.I.F., m?a �crit pour dire, je cite�: "Qu?en cas d?application d?une tarification francilienne ou �quivalente, le S.T.I.F. pouvait prendre en charge une partie du co�t de l?exploitation � travers la valorisation du trafic induit." Voil�!

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Merci, Madame BERTHOUT, c?est fini pour votre intervention. Je donne la parole � Christophe NAJDOVSKI.

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Je demande une suspension de s�ance�!

M. Christophe NAJDOVSKI, adjoint.- Madame la Maire, s?il vous pla�t, si vous voulez bien �couter ma r�ponse?

Mme Florence BERTHOUT, maire du 5e arrondissement. - Je ne peux pas entendre l?Adjoint aux Finances, quand on pose une question, qui dit�: vous dites n?importe quoi�!

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - La parole est � Christophe NAJDOVSKI et � lui seul. Merci beaucoup. Madame BERTHOUT, vous avez eu la parole. Christophe NAJDOVSKI pour vous r�pondre.

M. Christophe NAJDOVSKI, adjoint. - Madame la Maire, si vous voulez bien �couter ma r�ponse.

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - La parole est � Christophe NAJDOVSKI. Vous n?avez plus la parole. Monsieur LEGARET, vous demandez la parole pour quoi�?

M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Je demande une suspension de s�ance en souhaitant que le calme revienne, notamment chez les adjoints qui repr�sentent l?Ex�cutif. Merci.

Mme Pauline V�RON, adjointe, pr�sidente. - Oui et � l?ensemble des �lus de cet h�micycle. Je pense que cela peut s?appliquer � d?autres. Donc suspension d?une minute.

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