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M. Mao PENINOU, adjoint, pr�sident. - Je mets aux voix l?amendement n��118a? Madame KOSCIUSKO-MORIZET�?

Mme Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET. - Monsieur le Pr�sident, je sugg�re pour la bonne organisation des d�bats que vous ne leviez pas les yeux au ciel quand je prends la parole.

M. Mao PENINOU, adjoint, pr�sident. - Je vous �coute.

Mme Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET. - Je n?en abuse pas forc�ment beaucoup. Je voudrais vous faire remarquer que, si vous �tes fond� � demander que le temps de parole des maires soit limit�, on attend du pr�sident de s�ance qu?il y ait un peu d?�quit� sur le sujet, ce qui ne nous a pas forc�ment paru �vident dans la gestion de la s�ance jusque-l�. Et deuxi�me remarque, quand une question est pos�e, qui manifestement concerne le Pr�fet de police, puisque nous avons la chance d?avoir son repr�sentant sur place, c?est quand m�me bien qu?il puisse y r�pondre, sinon il fait un peu le mort au poker�! Il est l� malgr� tout et on aime bien l?entendre, surtout quand des questions le concernent sp�cifiquement. Cela ne nous semble pas abusif de faire remarquer cela.

M. Mao PENINOU, adjoint, pr�sident. - C?est � lui d?en d�cider, vous le savez tr�s bien, cela se passe comme cela. Si vous avez totalement la possibilit� - je vous le rappelle qu?il y a, y compris quand les sujets ne sont pas abord�s au Conseil de Paris, la possibilit� et je crois que vous ne manquez d?ailleurs pas de l?utiliser - de saisir, au moment des questions orales sur les sujets particuliers, le Pr�fet. Vous-m�me comme les autres groupes ne manquaient pas d?ailleurs de le faire de mani�re g�n�rale. Par ailleurs, je note de mani�re tr�s claire, mais j?aimerais bien que vous argumentiez, et je vous propose que nous en parlions lors de la prochaine s�ance d?organisation, � quel moment la pr�sidence n?accorde pas le m�me droit aux maires d?arrondissement de la majorit� ou de l?opposition. Vous le reprendrez et vous nous donnerez l?ensemble de ces �l�ments. En attendant, la parole est � M. le Pr�fet de police.

M. LE REPR�SENTANT DU PR�FET DE POLICE. - Merci, Monsieur le Maire. Comme je ne souhaite pas faire le mort au poker, je vous apporterai quelques explications. Je voudrais simplement rappeler que l?objet de ce projet de d�lib�ration concerne la gratuit� du stationnement aux abords de la "fan zone", et en aucun cas, le sujet de la s�curit� ou des dispositions relatives � la "fan zone". Comme l'a dit M. le Maire, demain, il y aura les questions d'actualit� et, tr�s certainement, tr�s probablement, ce sujet ne manquera pas d'�tre abord�. Je ne pense pas que ce soit le moment d'aborder ces sujets pour lesquels vous savez bien, Monsieur le D�put�, que cela fait l'objet de la plus grande attention. On essaie de donner la plus grande r�activit� sur la base des signalements qui nous sont communiqu�s par vos directeurs de cabinet du 7e arrondissement, du 15e arrondissement ou par vous-m�me durant le week-end. C'est un gros dispositif. Il y a des contraintes que nous tentons de contenir. L'objet de ce projet de d�lib�ration n'est pas l'enjeu de la s�curit� ou du choix de la "fan zone", mais celui de la gratuit� et de la r�duction sur ce petit spectre des contraintes sur les habitants de ces arrondissements.

M. Mao PENINOU, adjoint, pr�sident. - La relance permanente, cela suffit, Monsieur GOUJON. Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition d'amendement n��118a d�pos�e par le groupe les R�publicains, assortie d'un avis d�favorable de l'Ex�cutif.

Qui est pour�? Contre�? Abstentions�?

La proposition d'amendement n��118a est repouss�e.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DJS 244 - DVD.

Qui est pour�? Contre�? Abstentions�? Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2016, DJS 244 - DVD).

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