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58 - QOC 2000-7 Question de Mme Danièle GIAZZI, MM. Gérard LEBAN et Dominique CANE à M. le Préfet de police sur la mise en place d'un dispositif de sécurité pour les piétons du petit sentier dit "de la vallée Suisse", le long du musée de la Marine (16e)


Libell� de la question :
"L'attention de Mme Dani�le GIAZZI, MM. G�rard LEBAN et Dominique CANE a �t� appel�e � plusieurs reprises sur les probl�mes de s�curit� li�s � la fermeture de l'esplanade du Trocad�ro (16e).
En effet, un nombre tr�s important de pi�tons emprunte le petit sentier dit "de la Vall�e suisse", le long du Mus�e de la marine.
De ce fait, une recrudescence de voleurs � la tire, d'exhibitionnistes ou de vendeurs de drogue a �t� constat�e.
Mme Dani�le GIAZZI, MM. G�rard LEBAN et Dominique CANE souhaitent savoir quel dispositif M. le Pr�fet de police peut-il mettre en place afin de rem�dier � cet �tat de fait."
R�ponse (M. LE PR�FET DE POLICE) :
"Les parties lat�rales du jardin du Trocad�ro offrent effectivement, par leur configuration, des espaces aptes � des regroupements divers.
Ces faits sont r�guli�rement constat�s par les services locaux de la direction de la police urbaine de proximit� au cours de leurs rondes sur le site consid�r�.
L'installation, mi-d�cembre 1999, de chalets de type helv�tique dans le cadre des festivit�s de fin d'ann�e, n'a en rien constitu� un facteur d'aggravation de la situation de ce secteur.
Depuis cette date, aucune plainte pour des agressions perp�tr�es dans le petit sentier dit "de la vall�e suisse" n'a �t� enregistr�e par les effectifs de police.
Les dommages caus�s par la temp�te, de m�me que le manque d'�clairage dans ce passage �troit, ont cependant contribu� � alimenter un sentiment d'ins�curit� parmi les promeneurs.
Cette situation a rapidement �t� prise en compte par les fonctionnaires de police qui proc�dent � des op�rations de surveillance soutenues dans cette voie.
Je souhaite que cette action polici�re soit compl�t�e par des am�nagements dans le domaine de l'�clairage, afin d'am�liorer encore la physionomie des lieux et de r�tablir le sentiment de s�curit� chez les riverains et les pi�tons empruntant ce passage.
Des contacts seront pris prochainement par mes services en ce sens avec les services de la Mairie de Paris et les organisateurs."

Janvier 2000
Débat
Conseil municipal
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