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8 - Dépôt de questions d'actualité.



M. LE MAIRE DE PARIS. - Mes chers coll�gues, je vous informe que je suis saisi de cinq questions d'actualit�.
Une question relative " aux bruits surprenants sur un possible d�part de Paris du si�ge de la S.N.C.F. et des emplois " ; cette question est pos�e par M. Michel BULT�, au nom du groupe "Rassemblement pour Paris", et par M. Henri MALBERG, au nom du groupe communiste, " sur les effectifs ".
Ensuite, une question de M. Michel CHARZAT " sur les r�cents �v�nements relatifs aux foyers Georges-Sand et Crim�e ".
Une question de MM. Alain DUMAIT, Georges MESMIN et Mme TAFFIN � M. le Pr�fet de police sur les conditions de mise en oeuvre du plan v�lo. Dont voici le texte :
" Un sondage r�alis� par l'Institut BVA mercredi dernier 18 septembre montre que les Parisiens sont dans leur grande majorit� d'accord avec la nouvelle priorit� mise en ?uvre par la Municipalit� depuis le d�but de l'ann�e en faveur de l'usage de la bicyclette.
Pourtant, la mise en service des premiers tron�ons de pistes cyclables - peut-�tre un peu pr�cipit�e - n'a pas manqu� de susciter des critiques et des observations.
Cette nouvelle priorit� aboutit � multiplier les obstacles, sous diff�rentes formes, sur l'espace public, ce qui n'est pas un progr�s, mais, de ce point de vue, une r�gression.
Les �lus ind�pendants, attach�s � la fois � l'usage de la bicyclette � Paris et, en m�me temps, � ne pas multiplier les obstacles physiques et dangereux sur l'espace public, sugg�rent qu'autant que possible, � l'avenir, les pistes cyclables soient am�nag�es sur les trottoirs plut�t que sur la chauss�e, ce qui suppose que les trottoirs aient �t� pr�alablement �largis, dans le cadre d'une politique g�n�rale d'am�nagement et de valorisation de l'espace public, avec � la clef une r�duction significative du stationnement autoris� sur voirie, en particulier dans les arrondissements du Centre.
Ils font observer que la cohabitation entre les pi�tons et les cyclistes pose des probl�mes plus faciles � r�soudre que la cohabitation entre les cyclistes et les v�hicules � moteur. Il est plus facile et moins co�teux de prot�ger les pi�tons des v�los, que ceux-ci des voitures, des camions et des autobus...
Les �lus ind�pendants souhaitent qu'un point soit rapidement fait sur la premi�re partie de la mise en place du plan v�lo du Maire de Paris. Afin que le tir soit �ventuellement rectifi�. Avec r�duction parall�le du stationnement autoris� sur voirie.
On aurait pu en effet profiter de cette occasion pour supprimer des places de stationnement en surface, plut�t que de r�installer des marquages au sol � un m�tre cinquante des trottoirs, pour cause d'am�nagement de pistes cyclables...
Enfin, les �lus ind�pendants demandent � M. le Pr�fet de police si l'usage de ces nouvelles pistes cyclables a ou non, r�glementairement, un caract�re obligatoire pour les usagers cyclistes. "
Enfin, nous sommes saisis d'une question de M. Georges SARRE � M. le Pr�fet de police " sur l'organisation des manifestations � Paris ".
La s�ance est suspendue. Nous reprendrons nos travaux � 15 heures en formation de Conseil g�n�ral.

Septembre 1996
Débat
Conseil municipal
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