M. LE MAIRE DE PARIS. - Mes chers coll�gues, comme vous le savez et conform�ment � vos souhaits, j'ai d�cid� de prendre diverses mesures de nature � limiter le nombre des s�ances de nuit. C'est ainsi que le nombre de s�ances trimestrielles a �t� port� de trois � quatre, ce qui permettra de mieux r�partir le nombre de projets de d�lib�ration inscrits � chaque s�ance.
Une s�ance par trimestre ne comportera pas de communication prioritaire et sera ainsi consacr�e enti�rement � l'examen des projets de d�lib�ration. Je crois que c'est une modification des m�thodes qui peut am�liorer et simplifier nos d�bats.
Je vous demande dans cet esprit, chers coll�gues, de respecter scrupuleusement les temps de parole et de veiller � la bri�vet� de vos interventions. Ces mesures ont pour but non de restreindre votre droit d'expression, mais de favoriser le bon d�roulement des s�ances. Le fait de parler plus longtemps ne permet pas forc�ment de mieux expliciter sa pens�e.
Pour notre s�ance d'aujourd'hui, une partie de la matin�e sera consacr�e � la communication sur la rentr�e scolaire, conform�ment aux d�cisions de la conf�rence d'organisation.
Nous aborderons ensuite les affaires de la 6e Commission en commen�ant par les dossiers relatifs au domaine priv�. Je pr�cise qu'il a �t� convenu que ce d�bat concernera aussi quatre dossiers figurant � l'ordre du jour du Conseil g�n�ral.
Nous suspendrons la s�ance du Conseil municipal � 13 heures, puis nous reprendrons � 15 heures en formation de Conseil g�n�ral.
A l'issue de ce Conseil g�n�ral, nous si�gerons � nouveau en formation de Conseil municipal et poursuivrons l'examen des dossiers des autres Commissions.
Il n'est pas pr�vu, si nous sommes disciplin�s, de s�ance de nuit.