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M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous passons � l'examen du projet de d�lib�ration DAC 673 relatif � l'attribution d'une subvention de 300.000 euros � l'association Th��tre de la Ville. La parole est � Mme FOURNIER.

Mme Danielle FOURNIER. - A propos de cette subvention qui n'est pas la subvention du Th��tre de la Ville, mais une subvention de 300.000 euros qui vise � permettre � l'association de r�aliser pour la p�riode 2012-2014 un nouveau programme d'acquisition d'�quipements pour le son, la vid�o, les am�nagements de bureaux, le mobilier et le syst�me de s�curit�. Je voudrais poser une question tout simplement, parce qu'il me semble que toutes les associations ne sont pas forc�ment �gales, et que le Th��tre de la Ville, qui est un excellent th��tre dans sa programmation, b�n�ficie d'une attention pour le moins bienveillante de la part de la Ville, puisque chaque ann�e, outre sa principale subvention qui est quand m�me cons�quente, il b�n�ficie de 300.000 euros de mani�re vraiment r�guli�re pour continuer � s'�quiper. Ne faudrait-il pas envisager peut-�tre une r�novation du th��tre, une mise aux normes compl�te, quelque chose d'assez radical, en tout cas de relativement complet, plut�t que ce repl�trage, vous m'excuserez du terme, qui en fait s'apparente parfois � une subvention compl�mentaire d�guis�e annuelle�?

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Merci. La parole est � M. Bruno JULLIARD.

M. Bruno JULLIARD, adjoint. - Monsieur le Maire, deux �l�ments tr�s brefs de r�ponse. D'abord, cette subvention d'investissement est tout � fait habituelle, y compris dans son montant d?ailleurs pour le Th��tre de la Ville. En r�alit�, beaucoup d?autres �quipements culturels de la Ville per�oivent, en plus de leur subvention de fonctionnement, une subvention d'investissement, ce qui est tout � fait l�gitime et normal. Bien �videmment, le montant n'est pas le m�me lorsqu'il s'agit, par exemple, de financer de l'investissement pour un lieu quasi neuf�; je pense � la Maison des M�tallos, par exemple, o�, de fait, la n�cessit� de subventions d'investissement est nettement plus faible que pour des th��tres que vous connaissez aussi bien que moi, comme le Th��tre de la Ville qui, de fait, est aujourd'hui dans un �tat qui n�cessite un certain nombre de travaux d'am�nagement. Donc, c'est tout � fait habituel. Premier �l�ment de r�ponse, et c'est donc individualis� en fonction de la situation, bien �videmment, de chacun des th��tres et de chacun des �quipements. Le second point�: vous avez tout � fait raison, cela doit, bien �videmment, s'inscrire dans une volont� de travaux beaucoup plus importants et de r�fection globale du Th��tre de la Ville. Cela devra se faire dans les prochaines ann�es�; ce n'�tait pas pr�vu au P.I.P.P. de cette mandature. Cela devrait �tre le cas pour la prochaine mandature. Il devra donc y avoir une r�fection de ce th��tre. Tr�s probablement �galement du Th��tre du Ch�telet qui, pour des questions de s�curit� notamment, n�cessite des travaux d'ampleur. Il faut faire une distinction entre ces subventions d'�quipement qui notamment permettent d'ailleurs l'achat de mat�riels ou les travaux de s�curit� d'urgence, et puis une r�fection globale qui devra intervenir dans les ann�es � venir.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous allons passer au vote. Je mets donc aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DAC 673. Qui est pour�? Contre�? Abstentions�? Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2013, DAC 673).

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