retour Retour

Adoption de comptes rendus.


M. LE MAIRE DE PARIS. - Par ailleurs, le compte rendu sommaire de la s�ance des lundi 14 et mardi 15 octobre 2013 a �t� affich�. Le compte rendu int�gral de cette m�me s�ance a �t� publi�. Avez-vous des observations sur ces documents�? Ils sont adopt�s. Monsieur LEGARET�?

M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Oui, Monsieur le Maire. A la derni�re s�ance, M. LE GUEN s'est livr� � des invectives et des insultes � l'�gard des �lus de notre groupe. J'ai demand� une suspension de s�ance et j'ai demand� que M. LE GUEN pr�sente des excuses ou que, au minimum, il retire ses propos. C'est Christian SAUTTER qui pr�sidait la s�ance, il a effectivement suspendu la s�ance. Nous sommes revenus en s�ance et, � ce moment-l�, le pr�sident de s�ance nous a indiqu� que les propos ne figureraient pas au proc�s-verbal. Or, les propos figurent au proc�s-verbal, tel que nous l'avons re�u. Donc, j'aimerais que vous vous en expliquiez, Monsieur le Maire, et j'aimerais qu'il soit dit qu'un adjoint au Maire de Paris n'a pas pour fonction d'invectiver et d'insulter les �lus parisiens, quel que soit le groupe auquel ils appartiennent. J'aimerais que vous fassiez un rappel, le rappel � l?ordre qui, je pense, convient et se justifie, et que M. LE GUEN revienne sur ses propos ou que ces propos soient effectivement supprim�s du proc�s-verbal. Je vous remercie.

M. LE MAIRE DE PARIS. - Je ne vais pas prendre position sur le fond d'autant que, actuellement, question invectives... J'encouragerais tout le monde � faire preuve de dignit�, de responsabilit�. On peut s'opposer sur le fond sans invective, mais je ne sais pas de quoi il s'agit, en l'occurrence.

Si le pr�sident de s�ance, � ce moment-l�, M. Christian SAUTTER, a dit que les propos ne figureraient pas au B.M.O., je m?en tiens aux choses les plus r�guli�res possibles, il faut rectifier le B.M.O. pour que le B.M.O. soit fid�le � ce que vous avez dit en s�ance et que les r�gles qui nous permettent justement de fonctionner dans le respect, tout en mettant en valeur nos diff�rences, puissent �tre observ�es.

Cela vous va, Monsieur SAUTTER et Monsieur GAUDILL�RE�? Vous ferez en sorte qu'il en soit ainsi.

Novembre 2013
Débat
Conseil municipal
retour Retour