retour Retour

193 - QOC 2004-525 Question de Mme Elisabeth de FRESQUET et des membres du groupe Union pour la démocratie française à M. le Maire de Paris et à M. le Préfet de police sur la procédure engagée pour l'évacuation de l'association occupant illégalement la terrasse Lautréamont prévue pour l'extension du Conservatoire municipal du centre de Paris


Libell� de la question :
"Le Conservatoire municipal du centre de Paris avait fait conna�tre la n�cessit� parfaitement justifi�e d'�tendre ses locaux notamment ses salles de cours.
L'occasion en fut donn�e par la lib�ration des espaces qu'occupait une radio associative au niveau de la terrasse Lautr�amont. Un projet d'extension avec une estimation des travaux a �t� �labor�, le conservatoire devenant locataire et la Ville devant allouer les cr�dits de r�novation.
Or, le montage administratif a pris du retard et cette conclusion tant attendue vient d'�tre boulevers�e en raison de l'occupation ill�gale du lieu � quelques m�tres du commissariat Pierre Lescot par une association dont les prestations pr�tendument culturelles ne ressortent pas avec �vidence.
En revanche, le danger de sa pr�sence li� � des branchements �lectriques hasardeux, sans autorisation et contr�le, lui, est manifeste alors que la terrasse Lautr�amont est d�di�e aux activit�s recevant un public jeune, voire tr�s jeune.
Aussi Elisabeth de FRESQUET et les membres du groupe U.D.F. souhaiteraient conna�tre l'�tat de la proc�dure engag�e pour l'�vacuation de ce squat."
R�ponse de l'Adjoint au Maire non parvenue.
R�ponse
(M. LE PR�FET DE POLICE) :
"Dans le courant du mois d'ao�t 2004, un collectif d'artistes s'est install� dans des locaux situ�s dans les parties hautes du Forum des Halles surplombant la porte Lescot.
Ces locaux, abandonn�s depuis plusieurs ann�es, appartiennent � la Ville de Paris et leur gestion relevait de la soci�t� d'�conomie mixte Paris Centre. Ils �taient pr�c�demment occup�s par une radio priv�e.
Les squatters �tant dans les lieux depuis plusieurs semaines, une d�cision judiciaire est d�sormais n�cessaire pour proc�der � leur �viction.
Il appartient donc au propri�taire de saisir le juge judiciaire en vue d'obtenir l'expulsion des occupants."

Septembre 2004
Débat
Conseil municipal
retour Retour