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202 - QOC 2004-534 Question de Mme Marielle de SARNEZ et des membres du groupe Union pour la démocratie française à M. le Maire de Paris relative au lancement d'une campagne d'information sur la vaccination des animaux à Paris


Libell� de la question :
"L'apparition de cas de rage dans le Sud-ouest de la France fait craindre la r�surgence de cette maladie. Les Parisiens s'inqui�tent � juste titre de ce ph�nom�ne.
Monsieur le Maire, pr�voyez-vous de lancer une grande campagne d'information sur la vaccination des animaux pour pr�server la Capitale de cette terrible maladie ?"
R�ponse (M. Alain LHOSTIS, adjoint) :
"Mme Marielle de SARNEZ s'inqui�te de l'apparition de cas de rage dans le Sud-ouest de la France et de ses cons�quences pour la Capitale.
Par d�cision interminist�rielle, le Minist�re de l'Agriculture, de l'Alimentation, et de la P�che et des Affaires rurales et le Minist�re de la Sant� et de la Protection sociale ont d�cid� de renforcer le dispositif r�glementaire au regard de la rage dans les d�partements de la Dordogne, de la Gironde et du Lot-et-Garonne. Il s'agit de mesures particuli�res de pr�vention contre la rage applicables dans ces trois d�partements pour restreindre les mouvements des carnivores domestiques (chiens, chats et furets) non vaccin�s et non identifi�s et limiter les risques de diffusion �ventuelle de la maladie.
Ce dispositif reste cantonn� aux trois d�partements du Sud-ouest. Il appartient aux services de l'Etat de l'�tendre � d'autres d�partements si la situation venait � �voluer.
A Paris, la Direction des Services v�t�rinaires de Paris, plac�e sous l'autorit� du Pr�fet de police est charg�e d'appliquer la r�glementation minist�rielle et pr�fectorale en mati�re de surveillance de la rage. Ainsi, chaque ann�e � Paris, 200 chiens mordeurs font l'objet d'un suivi v�t�rinaire obligatoire.
La Ville de Paris s'associera naturellement aux dispositions qui seraient prises par l'Etat dans ce domaine et relaiera au moyen des panneaux lumineux, les conseils et informations communiqu�s aux Parisiens."

Septembre 2004
Débat
Conseil municipal
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