retour Retour

95 - Vœu n° 46 déposé par M. Jérôme COUMET et les membres du groupe socialiste et radical de gauche au sujet des éléments lapidaires du pavillon dit "de Julienne"


M. Christian SAUTTER, adjoint, pr�sident. - M. Patrick BLOCHE va intervenir sur le v?u n� 46 dont je rappelle qu'il concerne les �l�ments lapidaires du pavillon dit "de Julienne", sujet important sur lequel je lui donne la parole.
M. Patrick BLOCHE. - Il y a dans cette Assembl�e, surtout � une heure aussi tardive et quand nous sommes aussi peu nombreux, des habitudes et des bonnes habitudes. Il m'arrive souvent de voir le pr�sident de s�ance donner la parole � un �lu sur un projet de d�lib�ration alors que son tour est pass� et qu'il est arriv� en retard dans l'h�micycle, ce qui arrive � chacun d'entre nous.
J'essaie simplement que nous vivions tous ensemble dans de bonnes conditions.
En l'occurrence, il arrive qu'un �lu qui ne soit pas pr�sent en s�ance au moment o� il devait prendre la parole intervienne gr�ce au bon vouloir de l'Ex�cutif. J'ai demand�, effectivement n'ayant pas r�agi, � M. SAUTTER qui est pr�sident de la s�ance, de pr�senter ce v?u qui n'a pas �t� pr�sent� : ce n'est pas qu'il est tomb� ou qu'il a �t� retir�, il n'a pas �t� d�fendu, je le d�fends.
Je ne demande pas � ce que ce v?u soit d�battu. Il sera red�pos� dans trois semaines, mais comptez sur la vigilance du groupe socialiste pour vous interpeller � chaque fois que vous demanderez des d�rogations.
Quand un �lu de l'opposition ne sera pas pr�sent en s�ance au moment o� on lui demandera la parole, je ferai un rappel syst�matiquement.
M. Christian SAUTTER, adjoint, pr�sident. - Pour terminer, on ne va pas d�battre de ce v?u. Je vois simplement Mme MAZETIER opiner du chef � l'id�e que l'on va mettre rapidement � l'abri ces pierres qui sont tout � fait importantes.
Chers coll�gues, l'essentiel est que les pierres soient mises � l'abri et que l'on ne fasse pas de d�bats de proc�dure � 23 heures 35. Donc tout le monde est rassur�, les pierres vont �tre mises � l'abri et M. COUMET, comme chacun d'entre nous, est tout � fait rassur�.
Le v?u est retir�.

Septembre 2004
Débat
Conseil municipal
retour Retour