2010, DLH 141 - Réalisation par la RIVP d'un programme de construction comportant une résidence sociale de 240 logements PLA-I - Zac Porte des Lilas - lot C1 A (20e).
�
M. LE MAIRE DE PARIS. - Nous examinons maintenant le projet de d�lib�ration DLH 141 concernant la R.I.V.P.
Je donne la parole � M. MARTINS.
M. Jean-Fran�ois MARTINS. - Juste un mot tr�s bref et qui sera dans la continuit� de mon intervention de ce matin sur le rapport de la Chambre r�gionale des comptes ...
(Mouvements divers).
M. LE MAIRE DE PARIS. - S'il vous pla�t ! Attendez une seconde parce qu?ils bougent, l� !
M. Jean-Fran�ois MARTINS. - Ils peuvent se d�placer et m?entendre en m�me temps ! Mes coll�gues sont multit�ches !
M. LE MAIRE DE PARIS. - Oui, mais je ne voulais pas que votre intervention soit troubl�e ! Pas de bruit, s'il vous pla�t !
Les collaborateurs avec les adjoints, j?ai dit : pas de bruit ! Voil� ! Maintenant, M. MARTINS peut parler.
M. Jean-Fran�ois MARTINS. - Dans la continuit� de mon intervention de ce matin sur le rapport de la Chambre r�gionale des comptes sur le logement social, juste un mot. C'est �videmment une tr�s bonne nouvelle que ces 240 logements sont prioritairement affect�s aux jeunes travailleurs et aux �tudiants � Paris. On sait � quel point ils sont confront�s � des probl�mes majeurs. C'est donc une tr�s, tr�s bonne nouvelle.
Je regrette une fois de plus que ces logements soient plac�s � l'Est de Paris et non pas dans le Centre ou dans les quartiers Ouest. Cela ne m'emp�chera pas de voter cette d�lib�ration, tant le besoin est criant, mais c'est une invitation � trouver du foncier disponible, m�me si on n?arrivera pas � faire des programmes d?aussi grande envergure dans l'ensemble des quartiers de Paris, tant on peut constater que, dans le parc social mais aussi dans le parc priv�, les jeunes et les �tudiants sont de plus en plus rel�gu�s aux portes de Paris, et je vous invite � aller le week-end et le soir dans le centre de Paris, on y croise de moins en moins de jeunes et c?est regrettable.
(M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, remplace M. le Maire de Paris au fauteuil de la pr�sidence).
M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur MARTINS.
Pour vous r�pondre, la parole est � M. Jean-Yves MANO.
M. Jean-Yves MANO, adjoint, au nom de la 8e Commission. - Tr�s rapidement, nous devons nous r�jouir de la cr�ation d?un important centre pour accueillir les jeunes travailleurs dont nous savons, apr�s enqu�te sur toutes les cr�ations que nous avons faites, qu?il correspond totalement � la cible qui est la n�tre, qui rassemble des jeunes qui, certes, peuvent �tre en difficult�, mais aussi ceux qui ont un premier emploi � Paris et qui ont des difficult�s � se loger et qui, gr�ce � cela, trouvent une issue favorable leur offrant comme une sorte de tremplin � leur parcours r�sidentiel p�renne sur le territoire parisien.
Nous pouvons donc nous r�jouir, nous faisons, je vous l?ai dit ce matin, de la mixit� g�n�rationnelle sur les zones d'am�nagement, les jeunes ont leur place dans les zones d?am�nagement concert� du territoire parisien et nous ne manquons pas une seule occasion d'en faire �galement � l'Ouest et au Centre.
M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DLH 141.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2010, DLH 141).
�