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Mme Anne HIDALGO, premi�re adjoint, pr�sidente. Nous examinons le projet de d�lib�ration DU 13. Il s'agit de la proc�dure de dialogue comp�titif visant � l'acquisition, dans le cadre d'une ligne int�gr�e de mobilier urbain, d'un mod�le de r�ceptacle de propret� et d'un mod�le �volutif de mobilier d'assise.

Madame Laurence DOUVIN, vous avez la parole.

M. Yves POZZO di BORGO. - Madame le Maire ?

Mme Anne HIDALGO, premi�re adjoint, pr�sidente. - Oui, Monsieur POZZO di BORGO ?

M. Yves POZZO di BORGO. - Madame le Maire, hier, il s'est pass� en Italie un drame assez important. Les chiffres que j?ai eus hier sur ce tremblement de terre � L?Aquila dans les Abruzzes, faisaient �tat de 150 morts et ce matin, c?est 179.

La Ville de Paris, qui est toujours tr�s sensible � ce genre de drame, accorde en g�n�ral son aide. Il est vrai que la 1�re Commission s'est r�unie la semaine derni�re et que le s�isme est arriv� hier. Je me demande si nous ne pouvons pas acc�l�rer les choses pour attribuer une subvention pour tous les sinistr�s de l'Italie.

Je sais qu?il faudrait peut-�tre r�unir la Commission tr�s rapidement, mais je crois que pour ce s�isme qui frappe un important pays europ�en, nous pouvons changer un peu nos habitudes et acc�l�rer ce processus.

Mme Anne HIDALGO, premi�re adjoint, pr�sidente. Merci, Monsieur le Pr�sident. Habituellement, lorsque survient un drame, d?ailleurs o� que ce soit, la Ville de Paris est solidaire. Nous proposons toujours une subvention, une aide aux villes qui sont touch�es par des catastrophes, quelles qu'elles soient.

Le s�isme est survenu dans la nuit d'avant-hier. Je propose que la 9e Commission, qui suit les questions notamment europ�ennes et internationales, puisse se r�unir sous l'impulsion de Mme BERTRAND, avec les coll�gues qui en sont membres. On ne pourra pas, bien s�r, inscrire de subvention � l'ordre du jour de la pr�sente s�ance du Conseil, mais je crois que, comme pour toutes les autres situations de catastrophe o� la Ville s'est montr�e solidaire, nous aurons certainement � revenir sur ce drame dans le Conseil du mois prochain.

Monsieur CAVADA, sur le m�me sujet ?

M. Jean-Marie CAVADA. - Ne pourrions-nous pas �mettre d'abord un texte de solidarit� ce matin et annoncer que le Conseil examinera l'attribution d'une subvention, avant que tout cela ne soit �loign�, puisque c'est maintenant que les choses sont p�rilleuses ?

Mme Anne HIDALGO, premi�re adjoint, pr�sidente. - Par ailleurs, je pense que le Maire de Paris va s'exprimer sur le sujet et peut-�tre associera-t-il le Conseil de Paris � son expression. Cela me para�t une formule plus rapide.

Nous reviendrons sur ce drame sans doute lors du prochain Conseil.

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