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M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Nous allons maintenant examiner le v?u r�f�renc� n� 35 dans le fascicule, relatif � un d�bat sur les hypoth�ses pluriannuelles d?�volution du budget, qui a �t� d�pos� par le groupe U.M.P.P.A.

Je donne la parole � M. LEGARET.

M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Monsieur le Maire, je serai extr�mement bref puisqu?on a d�j� eu ce d�bat � plusieurs reprises aujourd'hui et encore tout � l'heure, � l'occasion de la question d'actualit� qui a �t� pos�e par Jean-Fran�ois LAMOUR.

Je pense que ce v?u formalise en tout cas notre position et notre demande de voir rapidement organiser une r�flexion sur les perspectives de r�ajustement budg�taire et les vraies hypoth�ses pluriannuelles. Cela rejoint en partie la question pr�c�dente et, bien entendu, quelle que soit la r�ponse de Bernard GAUDILL�RE, nous maintiendrons ce v?u.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci.

Monsieur GAUDILL�RE, vous avez la parole.

M. Bernard GAUDILL�RE, adjoint. - M. LEGARET a raison sur le fait que nous n'allons peut-�tre pas nous �tendre tr�s longtemps sur un v?u qui reprend les consid�rations d�velopp�es, avec talent d'ailleurs, par M. LAMOUR et M. LEGARET dans le Conseil de Paris d'aujourd'hui.

Je rel�verai simplement un terme qui me para�t d�sobligeant, pour ne pas dire davantage : ce v?u appelle � un d�bat sur les "vraies" hypoth�ses pluriannuelles, ce qui laisserait supposer que la Municipalit� pr�sente, volontairement bien entendu, de fausses hypoth�ses !

Monsieur LEGARET...

M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Sous-amendement accept� ! Biffons le mot qui f�che.

M. Bernard GAUDILL�RE, adjoint. - Je vous remercie, Monsieur LEGARET ! Je serais personnellement tr�s marri d'�tre accus� de dissimulation, de fausset�, d'hypocrisie, etc.

Pour en revenir aux choses s�rieuses, Monsieur le Maire, j'ai dit aujourd'hui que, bien entendu, nous �tions ouverts � un d�bat, dans les prochaines semaines et surtout au budget suppl�mentaire de juillet, sur les cons�quences de la crise �conomique et financi�re sur le budget de la Ville de Paris.

Je n'ai rien � retirer � ces d�clarations. J'observe simplement que pour le Maire de Paris, comme pour moi-m�me, l'objectif est plut�t la s�ance de juillet que la s�ance de mai ou de juin, et donc je me vois contraint de donner un avis d�favorable au voeu plus pressant de l'U.M.P.P.A.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u assorti d'un avis d�favorable de l'Ex�cutif.

Qui est pour ?

Qui est contre ?

Qui s?abstient ?

Le v?u est rejet�.

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