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121 - 2011, Annexe n° 1 - Liste des questions écrites posées à M. le Maire de Paris et à M. le Préfet de police.

121 - 2011, Annexe n� 1 - Liste des questions �crites pos�es � M. le Maire de Paris et � M. le Pr�fet de police.

Questions du groupe U.M.P.PA. QE 2011-29 Question de Mme Rachida DATI et des membres du groupe U.M.P.P.A. � M. le Pr�fet de police relative aux d�lais moyens d?arriv�e sur les lieux des v�hicules d?intervention d?urgence relevant de ses comp�tences.

Libell� de la question :

?Dans le cadre du d�bat sur l?am�nagement des berges de la Seine, M. le Pr�fet de police a fait part de la n�cessit� de pr�server la fluidit� du trafic automobile, afin notamment de permettre l?acheminement des v�hicules d?intervention d?urgence.

Il a �t� rapport� � cette occasion que les d�lais d?intervention ont augment� en moyenne lors des derni�res ann�es.

Aussi, Mme Rachida DATI et les �lus du groupe U.M.P.P.A. demandent � M. le Pr�fet de police quel est le d�lai moyen d?arriv�e sur les lieux des v�hicules d?intervention d?urgence, pour chaque ann�e depuis 2001.?

R�ponse non parvenue.

QE 2011-30 Question de M. Bernard DEBR� � M. le Maire de Paris sur la mise en oeuvre de la politique de s�curit� dans Paris, comp�tence qu?il partage avec le Pr�fet de police de Paris.

Libell� de la question :

?De v�ritables bandes se constituent depuis plusieurs mois, dans l?indiff�rence des pouvoirs publics. Dans le 16e arrondissement, malgr� la r�activit� des services de police, les vols, violences etc. ne diminuent gu�re et inqui�tent la population. Il y a quelques semaines, plus d?une cinquantaine d?habitants des rues Fourcroy, Rennequin dans le 17e arrondissement a saisi le d�put� pour d�noncer les troubles r�guliers commis par une bande d?une trentaine de ?jeunes? qui a ses habitudes passage Roux. L� �galement, la venue de la police, � la suite des appels r�guliers des habitants du voisinage, ne permet pas d?enrayer les trafics en tous genres, notamment de stup�fiants, les menaces et les violences sur les habitants. Au contraire, r�cemment des riverains ont fait �tat d?impacts d?armes � feu sur leurs fen�tres.

M. Bernard DEBR� souhaite donc savoir quelles mesures sont � l?�tude pour am�liorer l?ordre public � Paris, l?�tat d?avancement des projets de vid�osurveillance, malgr� le partage toujours difficile des comp�tences entre Pr�fet de police et Maire de Paris.?

R�ponse (Mme Myriam ELKHOMRI, adjointe) :

?La progression de la d�linquance observ�e � Paris est une pr�occupation particuli�rement importante pour la Municipalit� qui, au regard du statut particulier de la Capitale, n?est pas encharge de l?ordre public et de la s�curit� des biens et des personnes : ces missions rel�vent du Pr�fet de police.

Cependant la Ville consacre de lourds efforts � renforcer la s�curisation de Paris et de sa population contre la d�linquance. A ce titre elle apporte notamment une contribution financi�re importante au Plan de vid�oprotection pour Paris lanc� fin 2008 par la Pr�fecture de police. Au-del� d?une contribution de 5 millions d?euros, sa participation sous forme d?exon�ration, sur 15 ann�es, des redevances d?occupation du domaine public pour les �quipements implant�s � la fois sur la voirie et dans les �gouts pour le passage de quelques 350 kilom�tres de fibres optiques, se chiffre � 80 millions d?euros.

Le d�ploiement progressif du dispositif de vid�oprotection est � ce jour bien engag� puisque 25 % des cam�ras seront install�es � la fin de ce mois de d�cembre et la mise en place des 75 % des cam�ras restant devrait �tre achev�e en juin 2012.

La Ville pourra donc d�s l?�t� prochain, au regard de ses comp�tences et de ses propres missions, acc�der � l?exploitation des images de 200 des cam�ras du dispositif aux fins de protection des b�timents,installations et espaces municipaux ouverts au public, pr�vention des risques dont les crues de la Seine et la surveillance du trafic routier.

Par ailleurs, la constitution de bandes dans le 16e n?a pas �t� soulign�e lors des r�unions du comit� de suivi du contrat de s�curit� d?arrondissement, par les services de police qui n?ont pas identifi� la pr�sence de bandes organis�es comme il peut en exister dans d?autres arrondissements. En revanche, une augmentation des vols commis sur la voie publique mobilise actuellement le commissariat du 16e. Parall�lement au d�veloppement de la vid�oprotection, le dispositif de ?vid�o-patrouille? qui a �t� mis en place, � l?instar de celui cr�� sur le site du Trocad�ro, intervient pr�ventivement d�s qu?un regroupement est constat�, pour le disperser.

Enfin, le comit� de suivi du contrat de s�curit� du 17e arrondissement n?a, l� aussi, pas observ� la pr�sence de bandes sp�cifiques et les incidents d�nonc�s par l?auteur de la question doivent, � l?aveu des repr�sentants des �lus locaux, �tre relativis�s car �pisodiques.?

Question du groupe Communiste et �lus du parti de Gauche. QE 2011-28 Question de M. Ian BROSSAT et des membres du groupe Parti communiste et �lus du parti de Gauche � M. le Maire de Paris sur le manque de personnel et les conditions de travail des agents sp�cialis�s des �coles maternelles (ASEM) notamment dans les �tablissements du 18e arrondissement.

Libell� de la question :

?Comme le groupe Communiste et �lus du Parti de Gauche l?a rappel� durant la communication de rentr�e au Conseil de Paris de septembre dernier, le personnel des ASEM est en situation particuli�rement pr�caire. Au sentiment d?une non reconnaissance de leur qualification et de leurs comp�tences s?ajoutent des conditions de salaire particuli�rement faibles. De surcro�t, le manque d?effectif actuellement constat� induit une charge de travail trop importante par rapport aux missions qui leur sont confi�es. Cette situation est pr�judiciable au bon d�roulement de l?accueil des enfants et de la vie des �tablissements et nuit quotidiennement � des agents qui se sentent d�pr�ci�s.

Il est primordial de donner au personnel technique des �coles, � qui il est demand� grande polyvalence et disponibilit�, les moyens de travailler dans de bonnes conditions.

M. Ian BROSSAT et les �lus du groupe Communiste et �lus du Parti de Gauche demandent � M. le Maire de Paris quels sont les moyens concrets - notamment en terme de cr�ation de postes - que la Ville souhaite mettre en ?uvre pour assurer l?am�lioration des conditions d?accueil des enfants, notamment dans les �coles du 18e arrondissement.?

R�ponse non parvenue.

Décembre 2011
Débat
Conseil municipal
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