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Vœu relatif à la navette MK2.


D�lib�ration affich�e � l?H�tel-de-Ville
et transmise au repr�sentant de l?Etat le 1er d�cembre 2005.
Re�ue par le repr�sentant de l?Etat le 1er d�cembre 2005.

Le Conseil de Paris, si�geant en formation de Conseil municipal,

Le site de la Villette constitue un espace unique, qui conna�t depuis son r�am�nagement une profonde redynamisation. Les deux cin�mas MK2 et les restaurants associ�s y contribuent fortement, et concourent � l?animation du bassin et � sa d�couverte par les Parisiens. La proposition de MK2 de liaison par navette fluviale entre les deux berges du bassin, pour le usagers des cin�mas, a �t� examin�e avec int�r�t par la Ville comme un �l�ment d?animation suppl�mentaire susceptible de valoriser le plan d?eau. C?est pourquoi elle a instruit dans un d�lai tr�s court l?ensemble des autorisations n�cessaires, notamment en termes de s�curit� des bateaux et des pontons, afin de permettre la mise en service de cette navette d�but octobre, pour une p�riode test d?une ann�e reconductible.

L?exp�rience des premi�res semaines met ainsi en �vidence un certain succ�s de ce service, mais aussi des attentes d?autres cat�gories d?usagers que les seuls d�tenteurs de billets de cin�ma. Des demandes ont �t� formul�es pour leur permettre de b�n�ficier des m�mes conditions que les spectateurs des cin�mas, � savoir la gratuit�.

Ces conditions doivent cependant �tre compatibles avec l?esprit du service propos�, qui s?inscrit dans un cadre commercial � la seule initiative d?une soci�t� priv�e. Sauf � cr�er un service public de voyageurs, ce qui ne semble pas la r�ponse au besoin d?animation �voqu�, la Ville ne peut imposer � son amodiataire les conditions d?exercice de son activit�. Il convient donc d?examiner avec l?entreprise les �volutions possibles du fonctionnement du service.

En cons�quence, sur la proposition de Myriam CONSTANTIN, au nom de l?Ex�cutif,

Emet le voeu :

Que des discussions soient engag�es avec MK2 afin d?examiner les conditions dans lesquelles le contenu de l?autorisation d�livr�e, qui ne rev�t encore qu?un caract�re exp�rimental, pourrait �voluer, notamment en mati�re de d�finition de service, de tarification et de redevance.

Novembre 2005
Déliberation
2005 V. 406
Conseil municipal
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