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41 - 2000, DVLR 25 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer avec l'association "La Clairière" une convention pour la reconduction d'une mission de coordination, d'information et d'orientation sur le quartier Porte Saint-Denis - Porte Saint-Martin (10e) relevant des actions "politique de la ville"


M. LE MAIRE DE PARIS. - Nous passons au projet de d�lib�ration DVLR 25 relatif � une convention pour la reconduction d'une mission de coordination, d'information et d'orientation sur le quartier Porte Saint-Denis - Porte Saint-Martin (10e) relevant des actions "politique de la ville".
M. OTTAWAY a la parole.
M. Michel OTTAWAY. - Monsieur le Maire, mes chers coll�gues, je voulais saisir l'occasion de l'adoption, sans doute unanime, de ce projet de d�lib�ration, comme au Conseil du 10e arrondissement, pour �viter que le travail des �quipes locales qui m�nent la politique de la ville dans le quartier des portes Saint-Denis et Saint-Martin soit interrompu.
A cette occasion, en votant ce projet de d�lib�ration, avec tous mes coll�gues je pense, je voulais noter, pointer les insuffisances de moyens qui perdurent obstin�ment � l'occasion de la mise en ?uvre de la politique de d�veloppement social urbain sur ces quartiers. Je crois que l'�quipe locale, puisque maintenant il s'agit de l'�quipe locale, est tr�s peu pourvue en �quipement, en personnel, vue l'immensit� de sa circonscription de travail et tr�s peu pourvue en �quipement, ne serait-ce que les locaux o� elle tient � peine, o� elle parvient � peine � recevoir les personnes, les d�l�gu�s des associations qu'elle doit recevoir dans des conditions qui soient � peu pr�s raisonnables. Donc je pense que c'est tr�s bien de faire en sorte qu'il n'y ait pas de solution de continuit� dans le financement de cette action, je rappelle qu'on est toujours en recherche de locaux, semble-t-il, on avait trouv� une solution, elle vaut ce qu'elle vaut, c'est mieux que rien, au fond du march� Saint-Martin. Il est urgent que l'�quipement local, ou la ma�trise d'oeuvre sociale ou urbaine, qu'importe, que cette �quipe ait des moyens qui conviennent vue l'ampleur qui est souvent soulign�e par M. BARIANI, l'ampleur des t�ches qui lui sont fix�es et les moyens ne sont pas du tout en rapport avec l'ampleur des t�ches qu'elle doit mener. C'est subventionn�. Continuez, c'est bien, mais donnez-lui des locaux du mat�riel t�l�phonique, etc.
M. LE MAIRE DE PARIS. - Merci. Monsieur BULT�, vous avez la parole.
M. Michel BULT�, adjoint, au nom de la 6e Commission. - Tr�s rapidement, Monsieur le Maire, j'ai �cout� M. OTTAWAY avec la plus grande attention bien entendu, comme il l'a signal� d'ailleurs, le Conseil du 10e arrondissement s'est prononc� � l'unanimit�, comme je souhaite que le Conseil de Paris de ce soir puisse se prononcer � l'unanimit�.
M. OTTAWAY a eu raison de souligner les probl�mes mat�riels concernant notamment cette op�ration. Je le rassure, mon coll�gue et ami Didier BARIANI m'a fait savoir qu'une solution serait mise prochainement en place pour ces probl�mes locaux qui n'ont pas pu se r�soudre tr�s rapidement.
Je souhaite bien entendu que cela puisse se faire dans les meilleurs d�lais. Je vous prie de croire, Monsieur OTTAWAY, d'apr�s ce que m'a indiqu� M. BARIANI que dans les semaines qui viennent, vous ne serez pas d��u, les moyens arriveront.
M. LE MAIRE DE PARIS. - Merci.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVLR 25.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2000, DVLR 25).

Février 2000
Débat
Conseil municipal
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