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64 - QOC 2000-142 Question de M. Roger MADEC, Mme Gisèle STIEVENARD et des membres du groupe socialiste et apparentés à M. le Maire de Paris relative à l'affectation de l'emprise mitoyenne au lycée Jacquard, rue Bouret (19e)


M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - La question suivante est au sujet de l'affectation de l'emprise mitoyenne au lyc�e Jacquard, rue Bouret (19e).
En voici la teneur :
"La Ville de Paris est propri�taire d'une parcelle de 244 m�tres carr�s qui jouxte le lyc�e technologique Jacquard. Cette parcelle est sans affectation depuis plusieurs ann�es et ne semble pas �tre l'objet de projets de la Mairie de Paris.
En cons�quence, M. Roger MADEC, Mme Gis�le STIEVENARD et les membres du groupe socialiste et apparent�s demandent � M. le Maire de Paris que des �tudes soient rapidement engag�es pour l'implantation d'une halte-garderie, compte tenu des besoins recens�s sur le secteur.
En toute hypoth�se, ils souhaitent que, pr�alablement � toute d�cision de la Mairie de Paris sur le devenir de cette parcelle, une concertation soit tr�s vite ouverte avec la mairie du 19e arrondissement et le lyc�e technologique Jacquard."
Je vous donne la r�ponse au lieu et place de M. Michel BULT�, adjoint.
La Ville de Paris a acquis en 1992, dans le cadre de la pr�emption, un immeuble 4,6 rue Bouret pour l'extension projet�e du Lyc�e technologique Jacquard. Un accord sur les conditions de cession de ce terrain � la R�gion Ile-de-France n'a cependant pas pu �tre trouv�.
De nouveaux contacts vont �tre pris avec la R�gion. Par ailleurs, la Ville de Paris confirme les besoins en place de halte-garderies pour le 76e quartier dans lequel se trouve la rue Bouret, aucun �quipement de ce type n'existant dans ce secteur.
Toutefois, il convient de rappeler que la Ville de Paris a propos� la r�alisation d'une halte-garderie de 30 places rue des Alouettes dans le lotissement de l'ancienne SFP. Une d�lib�ration autorisant sa r�alisation a �t� pr�sent�e le 11 octobre 1999 au conseil du 19e arrondissement qui s'est prononc� contre son adoption, ce que l'on ne peut que d�plorer.

Février 2000
Débat
Conseil municipal
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