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32 - 1999, DVD 113 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer avec M. FEICHTINGER, architecte, et le cabinet d'ingénieurs "RFR" un marché de maîtrise d'oeuvre pour la construction de la passerelle reliant la "terrasse au bord de l'eau" du parc de Bercy au quai François-Mauriac (12e et 13e)


M. Pierre GABORIAU, adjoint, pr�sident. - Mes chers coll�gues, nous passons au projet de d�lib�ration DVD 113 concernant la construction de la passerelle reliant la "terrasse au bord de l'eau" du parc de Bercy au quai Fran�ois-Mauriac.
La parole est � Mme SCHNEITER.
Mme Laure SCHNEITER. - Monsieur le Maire, le projet retenu pour la construction de la passerelle reliant "la terrasse au bord de l'eau" du parc de Bercy au quai Fran�ois-Mauriac, semble convenir aux diff�rents services responsables ainsi qu'aux associations du 13e.
Les grands oubli�s restent les personnes handicap�es.
Les am�nagements � pr�voir doivent �tre d'autant moins difficiles � prendre en compte techniquement, que tout est � cr�er. Les probl�mes pos�s sont d�termin�s par les acc�s aux diff�rents niveaux.
Rive gauche, il y a 4 niveaux de r�f�rence : le parvis, le quai haut, la promenade et la berge proprement dite.
Rive droite, il y en a trois : la terrasse du parc de Bercy, le quai haut et la berge.
Comment M. FEICHTINGER et son bureau d'�tudes comptent-ils assurer les liaisons verticales sur ces diff�rents niveaux afin de permettre aux personnes handicap�es d'y avoir acc�s ? C'est un d�fi architecturalement, qui doit �tre int�ressant � r�soudre.
Puisque tout est � r�aliser, je leur ferai a priori confiance et voterai pour cette attribution de march�, mais j'aimerais avoir rapidement la confirmation que les personnes handicap�es ne sont pas oubli�es.
Par ailleurs, le projet retenu n'utilise pas la structure du viaduc de Tolbiac, comme cela avait �t� envisag�. Je ne voudrais pas qu'il soit d�finitivement oubli� au fin fond d'un hangar en Eure-et-Loir. Quel sort lui r�servez-vous alors que les associations demandent sa r�installation sur le site de la Z.A.C., au-dessous des voies de chemin de fer ?
M. Pierre GABORIAU, adjoint, pr�sident. - Merci. La parole et � M. PLASAIT pour vous r�pondre.
M. Bernard PLASAIT, adjoint, au nom de la 3e Commission. - Madame SCHNEITER, je ne comprends pas pourquoi vous nous dites que les handicap�s sont les grands oubli�s de la passerelle de Bercy parce que lorsqu'on regarde cette passerelle on comprend qu'il y a deux cheminements qui s'entrecroisent harmonieusement, un cheminement qui permet d'aller de berges hautes en berges hautes et un autre qui permet d'aller de berges basses en berges basses.
La quasi-totalit� de ces cheminements sont � des pentes de moins de 4 % et par cons�quent sont accessibles aux fauteuils, les seules parties qui sont en pente � 10 % sont tr�s faibles et � ce moment l� on peut les �viter par des ascenseurs. Par cons�quent non seulement les handicap�s ne sont pas oubli�s mais je crois qu'au contraire ils peuvent b�n�ficier de la totalit� des services qu'offre cette superbe passerelle.
Voil�, Monsieur le Maire.
M. Pierre GABORIAU, adjoint, pr�sident. - Merci, Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD 113.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (1999, DVD 113).
M. Pierre GABORIAU, adjoint, pr�sident. - Je vous remercie. L'examen des dossiers de la 3e Commission est donc termin�. Je vous propose de nous retrouver � 22 heures 15 pour attaquer les dossiers de la 4e commission et de nous retrouver maintenant dans les salons pour un d�ner. Nous ach�verons ce soir l'ensemble des projets soumis � votre approbation.
La s�ance est suspendue � 21 heures.

Juillet 1999
Débat
Conseil municipal
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