retour Retour

69- QOC 97-453 Question de M. Pierre SCHAPIRA et des membres du groupe socialiste et apparentés à M. le Maire de Paris à propos du logement social dans le 2e arrondissement.



Libell� de la question :
" Un projet de d�lib�ration portant cr�ation de 66 appartements de type P.L.I. situ�s 60, rue d'Aboukir et 93, rue R�aumur a �t� rejet� par le Conseil du 3e arrondissement, le 10 septembre 1996.
M. Pierre SCHAPIRA avait, pour sa part, vot� contre ce projet en expliquant que l'arrondissement avait besoin de logements de type P.L.A. et non de P.L.I.
Un autre projet de d�lib�ration, portant sur la cr�ation de 36 logements de type P.L.A. situ�s 158, rue Montmartre - 46-48, rue des Je�neurs, pour lequel il avait vot�, a �t� rejet� par la majorit� du Conseil du 2e arrondissement le 2 octobre 1996.
Malheureusement, le manque cruel de logements sociaux se fait toujours sentir dans le 2e arrondissement.
C'est pourquoi M. Pierre SCHAPIRA et les membres du groupe socialiste et apparent�s demandent � M. le Maire de Paris de bien vouloir pr�ciser ce qu'il est advenu de ces projets et d'indiquer que l'immeuble de la rue des Je�neurs, propri�t� de la R.I.V.P., ne sera pas vendu au secteur priv�. "
R�ponse (M. Michel BULT�, adjoint) :
" Le 2e arrondissement compte � ce jour 245 logements sociaux. Parmi les projets les plus r�cents figurent en 1996 la r�alisation par EMMAUS de 42 logements en faveur des plus d�munis au 17/21, rue Sainte-Apolline et la cr�ation par la R.I.V.P., en son domaine propre, d'un programme de 27 P.L.I. situ� 4, rue de Louvois, achev� en 1997.
Le Conseil du 2e arrondissement, consult� sur les projets de d�lib�ration portant sur les op�rations 158, rue Montmartre et 60, rue d'Aboukir, a d�cid� d'�mettre un avis d�favorable � l'unanimit� sur le principe de leur mise en oeuvre.
Dans un souci de concertation et afin de prendre en compte l'ensemble des avis exprim�s � cette occasion, le Maire a demand� le r�examen de ces projets.
S'agissant du projet situ� 158, rue Montmartre/46-48, rue des Je�neurs, la R.I.V.P. a propos� de r�aliser en substitution � cette adresse, en son domaine propre, un programme d'accession � la propri�t�. Cet immeuble ne sera pas revendu au secteur priv�.
Pour ce qui concerne le second projet qui visait � transformer en logements sociaux un immeuble majoritairement destin� � des activit�s, l'�tude se poursuit afin de d�terminer la solution la plus appropri�e pour tenir compte des pr�occupations exprim�es par le conseil d'arrondissement. "

Décembre 1997
Débat
Conseil municipal
retour Retour