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Vœu déposé par le groupe Communiste et élus du Parti de Gauche relatif aux produits de lissage capillaire. Vœu déposé par l'Exécutif.


M. Christian SAUTTER, pr�sident. - Nous passons maintenant � l'examen des v?ux r�f�renc�s nos 7 G et 7 G bis dans le fascicule, d�pos�s par le groupe Communiste et �lus du Parti de Gauche et l'Ex�cutif, relatifs aux produits de lissage capillaire. La parole est � M. Ian BROSSAT.

M. Ian BROSSAT. - Merci, Monsieur le Pr�sident.

Il s'agit effectivement d'un v?u tr�s important qui porte sur un sujet qui concerne plusieurs arrondissements de notre ville et, tr�s pr�cis�ment, il s'agit des produits de lissage capillaire, ces produits "d�frisants chimiques" qui sont vendus dans un certain nombre de quartiers, notamment dans l'Est parisien, mais aussi dans le 10e arrondissement et qui peuvent avoir des cons�quences extr�mement graves sur la sant� des utilisateurs et, en l'occurrence, plut�t des utilisatrices. Il y a en particulier une enqu�te de l'Agence fran�aise de s�curit� sanitaire des produits de sant� qui insiste sur le fait que ces produits peuvent �tre extr�mement dangereux et avoir des cons�quences tr�s graves. Il s'agit par cons�quent que la Ville se saisisse de ce sujet et puisse mener une campagne de pr�vention avec un certain nombre d'associations qui, d'ores et d�j�, nous alertent sur les dangers li�s � l'usage de ces produits.

M. Christian SAUTTER, pr�sident. - Merci, Monsieur BROSSAT. Je donne la parole � M. Jean-Marie LE GUEN pour donner le point de vue de l'Ex�cutif et pr�senter le v?u n��7 G bis.

M. Jean-Marie LE GUEN. - Je veux dire � M. Ian BROSSAT qu?il n?est pas seul � se soucier des probl�mes de cosm�tique capillaire et que, bien �videmment, cette question importante de sant� publique nous avait tous frapp�s. Nous avions �videmment converg� vers les pr�occupations qui sont les siennes, puisque je propose un v?u de l'Ex�cutif, pour faire simple et direct, qui reprend tr�s largement une partie de ses pr�occupations, qui simplement l'adapte � la meilleure connaissance du risque, mais aussi � une action plus imm�diate, en demandant d'ores et d�j� � la D.G.C.R.F., la r�pression des fraudes, d'intervenir de fa�on plus r�guli�re, puisqu'une partie des produits qui sont d�nonc�s � travers son intervention sont d�j� interdits dans leur application. Donc, je pense que nous pouvons avoir ensemble un v?u commun � l'Ex�cutif d'une part et � celui de M. Ian BROSSAT, d'autre part.

M. Christian SAUTTER, pr�sident. - Merci, Monsieur LE GUEN. Monsieur BROSSAT, acceptez-vous le v?u de l'Ex�cutif qui cite explicitement votre propre v?u et qui apporte des propositions�?

M. Ian BROSSAT. - Merci, Monsieur le Pr�sident. Il ne fait pas que le citer, il apporte effectivement des pr�cisions et il nous permettra d?avoir des r�sultats et des actions, donc nous sommes favorables au v?u de l'Ex�cutif.

M. Christian SAUTTER, pr�sident. - Tr�s bien, donc le v?u n��7 G est retir�. Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de v?u d�pos� par l'Ex�cutif. Qui est pour�? Contre�? Abstentions�? Le projet de v?u est adopt� � l'unanimit�. (2012, V. 49 G).

Octobre 2012
Débat
Conseil général
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